D.L.
|
Photo tirée de l'Effort n°224-225 sep-oct 1982
Né en 1954 à Villeurbanne (Rhône) Jean-Pierre Dubois rejoint le Damier Lyonnais au début des années 70 suite à la lecture d'une chronique de Marcel Rausch dans "Le Progrès" lyonnais. Intrigué, il achète "Le Jeu de Dames" de Henri Chiland, le livre l'interpelle, ce jeu simple n'est finalement pas si simple que l'on pourrait le penser... Il participe ensuite à une simultanée organisée au 33, rue Tupin à Lyon par Le Damier Lyonnais. La simultanée est donnée par Jean Pierre Rabatel. Il s'est fait assez logiquement écraser par le futur champion de France et ne sait pas du tout pourquoi. Il revient au club et les parties contre les joueurs plus modestes le rassurent quelque peu. Les maîtres ne jouent pas à l'époque avec les débutants, mais Jean Pierre Rabatel le pousse à participer au championnat de France 1971 à Toulon. Jean Pierre Dubois essaie de faire au mieux et termine 4e en Promotion. Une anecdote de ce championnat racontée par l'intéressé : La salle de jeu est loin de l'hébergement et Jean Pierre Dubois se fait ramener par Michel Hisard, un grand nom de jeu de Dames, "un gars de midi". Hisard n'est jamais à l'heure, un jour ils arrivent avec plus de 30 minutes de retard. Sa pendule tourne (pas celle de GMI Hisard ! qui va conquérir encore une fois le titre suprême) Pour "rattraper" Jean Pierre joue vite le début et perd une pièce. Il termine tout de même 4e ce qui vu le nombre des joueurs de la série est une performance. Sa montée est par la suite d'une constance remarquable. Il sera 2e en Promotion en 1973, 1er en Honneur en 1974, 1er en Excellence en 1975. Puis vient la Nationale : 9e en 1976, 6e en 1977, 5e en 1978, Vice-champion en 1980, 3e en 1981, champion de France en 1982. Il participera encore en 1985 et 86 pour arrêter définitivement. Comment se préparait-il aux championnats ? Pas de préparation spécifique. Il jouait beaucoup, analysait les parties de Sijbrands et d'Andreïko, ses deux références privilégiées. Mais il admirait également les joueurs africains comme Baby Sy ou Mamina N'Diaye dont les analyses ultra rapides l'impressionnaient.
Jean Pierre Dubois porte un regard assez sévère sur la communauté damiste de l'hexagone, mais a apprécié plusieurs individualités : Pierre Delhom ou Michel Hisard ou encore Jean Simonata, drôle et sympathique, Daniel Issalène, un ami, Jean Pierre Rabatel, un vrai compétiteur, sa méthode de raisonnement serait à transmettre : "J'ai mis une énergie incroyable pour comprendre sa construction de jeu". Il garde un très bon souvenir de très jeune et talentueux Laurent Nicault dont les analyses recherchées l'ont étonné. Il cite aussi Georges Mostovoy qui l'a influencé et les maîtres Lyonnais Antoine Mélinon, Abel Verse, Georges Post et Stéphane Faucher. Il a apprécié l'action de Mélique Muradian qui s'est battu pour sauver le damier dans une période difficile.
Jean-Pierre Dubois (à droite) en compagnie de deux GMI Luc Guinard, France (à gauche) et V.Virny, Russie (au centre) photo de la collection de Gilbert Charles
Est-ce que le jeu de dames lui a apporté quelque chose ? Rien en termes financiers "Sinon je n'aurais fait que cela. Pour une fois j'ai été sauvé par la misère ! J'ai pris beaucoup de plaisir à jouer et mes capacités de concentration ont été développées par le jeu. Professionnellement j'ai progressé". A 30 ans il commence sa carrière professionnelle, à 35 ans il devient ingénieur par la formation continue. Il fut champion de France à 28 ans.
Après avoir arrêté la compétition, il a envie de transmettre. Ce n'est pas facile de trouver un moyen simple pour traduire le pourquoi du comment : "C'est ce qu'il y a de plus difficile au jeu de dames c'est ce qu'on doit chercher" Il fait des chroniques dans le Journal de Lyon (1977-1980) et commente les parties pour les enfants surdoués de l'Institut Beaulieu.
Page de couverture du n°1 Bulletin Ligue RAB, janvier 1989
Pendant des années (1979-1986) il a été chroniqueur de l'Effort. Il y a abordé la théorie des débuts, le jeu de position (voir ses chroniques sur le système Roozenburg dans les années 1979-82, positions classiques) a commenté des parties. Il a aussi été rédacteur en chef et chroniqueur régulier et brillant de notre bulletin de ligue Rhône-Alpes Bourgogne (1989-2000). Les rubriques comme "Jeu de position" et "Systèmes de jeu" (Drost, d'Utrecht), "les Merveilles de jeu", Grands joueurs, "les parties qui ont marqué mon époque", Analyse des parties, Combinaisons thématiques ont été très appréciées des lecteurs. Il a également été en charge du Conseil Technique et du classement mobile de la ligue.
La note biographique a été rédigée à partir de la revue fédérale "l'Effort" et des entretiens avec Jean Pierre Dubois à Ferney Voltaire en avril 2005. Voici quelques parties du Championnat d'Europe 1983. ANALYSESJean Pierre Dubois - Antoine Mélinon jouée le 9 octobre 1978 commentaires Jean-Pierre Dubois ("La plus belle partie que je n'ai jamais jouée...")
1.33-29 17-21 2.39-33 21-26 3.44-39 11-17 4.32-28 19-23 5.28x19 13x24 Ce début de partie s'est rencontré pour la première fois au tournoi de Brinta 1967 entre Sijbrands et Wiersma. On trouve également comme référence la partie du championnat de Hollande 1975. dans cette partie Wiersma avait choisi le plan suivant : 50-44 6-11 34-30 9-13 30x19 14x34 39x30 20-25 44-39 25x34 39x30 10-14 43-39 17-22 31-27 etc. avec occupation du centre 6.38-32 14-19 7.42-38 20-25 8.29x20 25x14 9.35-30 7-11 10.50-44 1- 7 11.30-25 19-23 !? Ce coup permet aux Blancs de dégager leur grande diagonale, 17-22 était plus fort. 12.32-28 23x32 13.37x28 26x37 14.41x32 16-21 15.46-41 21-26 16.41-37 17-22 17.28x17 11x22 18.32-28 7-11 19.28x17 11x22 20.38-32 22-27 21.32x21 26x17 22.43-38 14-20 23.25x14 10x19 24.38-32 5-10 25.36-31 9-14 26.49-43 8-13 27.34-29 3- 8 28.48-42 19-23 29.33-28 23x34 30.40x29 13-19 31.42-38 19-23 32.28x19 14x34 33.39x30 18-23 !? S'expose aux dangers de l'encerclement dû au centre sans support. Voir à ce propos la chronique ci dessous 34.38-33 8-13 35.45-40 12-18 36.43-39 15-20 37.40-34 10-14 38.47-41 14-19 39.33-29! 17-22 AB 40.30-25 6-11CD 41.25x14 19x10 42.29-24 11-17 43.24-20! 13-19E 44.20-15 10-14 45.39-33 19-24?F 46.32-28! 23x32 47.37x28 14-19G 48.34-29 24-30 49.44-39 30-35 50.39-34 2- 7 51.41-37 7-11 52.37-32 11-16 53.32-27 18-23 54.29x18 22x13 55.33-29 19-24H 56.29x20 17-21 57.31-26 21x23 58.34-30 35x24 59.20x 9 4x13 60.15-10 gain Analyse Diagramme 1 Variantes AB Les blancs menacent d'enchaîner le centre, les noirs ne peuvent jouer ni 20-25, ni 2-8 A (20-25) 39-33 (2-8) 29-24 (4-9) 44-39 (6-11) 33-28 (11-16) 39-33 etc. B (2-8) 39-33 (4-10) 44-40 (8-12) 33-28 (10-15) 40-35 (20-24) 29x20 (15x24) 31-27 etc. gain
Diagramme 2
Variantes C-D Au lieu de 6-11 on peut envisager 22-28 ou 2-8 mais dans les deux cas les Blancs ont de grandes chances de gain. Voyons C (2-8) 25x14 (19x10) 29-24 (4-9) 31-26! /interdit 6-11 à cause de 26-21/ (9-14f) 24-19! (13x24) 32-28 (23x32) 37x17 (18-23) 41-37 (14-19!) 44-40a (10-14) 26-21 (23-29) 34x23 (19x28) 40-35 (24-29) 39-34 (29x40) 35x44 etc. avec grandes chances de gain Sous-variante a 39-33? (10-14) 44-39 (23-28) 33x22 (19-23) 37-32 (14-20) 22-18 (23x21) 26x17 (8-13!) 32-27 (13-18) 27-21 (20-25) 21-16 (24-30) 34-29 (18-23) 29x18 (30-34) nulle D (22-18) 25x14 (19x10) il y a trop de variantes pour pouvoir affirmer avec certitude que les blancs ont le gain, mais la variante donnée ci-dessous indique le plan à suivre : 29-24 (10-14) 44-40 (4-10) 34-30 (10-15) 30-25 (6-11) 31-27 (11-17) 41-36 (17-22) 36-31 40-35 35-30 et 39-34 avec gain
Diagramme 3
Variante E (10-15) 20-14 (13-19) 14-10 (15-20) 10-5 (20-24) 32-28 gain Après (13-19) dans la partie si 20-14 (19-24) 14x5 (24-29) avec avantage gagnant pour les noirs
Variante F Les noirs pouvaient annuler ici par (2-7!) 31-26 (19-24) 44-40 (14-20) 33-29 (24x33) 15x24 (7-12) 26-21 (17x26) 32-28 (23x32) 37x8 (33-38) 41-36 (38-42) 8-2 (42-47) 34-29 (18-23) 29x18 (47x20) 40-35 (20-9) 2-13 (9-3) nulle
Variante G Au lieu de (14-19) on peut jouer ici (14-20) mais c'est également sans espoir 44-40 (20-25) 40-35 (2-7) 41-37 (7-11) 37-32 (24-29) 34x21 (11-16) 28x17 (16x29) 17-12 (29-33) 12-7 (33-39) 7-1 3(9-43) 31-27 (43-49) 27-22 avec normalement un gain puisque si (25-30) 35x24 (49-35) 24-20 (35-13) 1-18 (13-9) 15-10! n'aboutit pas les blancs font une deuxième dame et gagneront sans peine.
Diagramme 4
Variante H Si (13-18) 31-26 assure le gain Si (17-21) 15-10 (21x23) 29x9 (4x15) 9-3 (19-23) 3-17g Si (35-40) 34x45 (17-21) 31-27 (21-27) 31-26 (27x18) 45-40 (4-9a) 15-10 (18-23) 29x18 (13x33) 10-4 (9-14) 4-27 suivi de 26-21 avec gain Sous-variante a Si (19-24) 29x20 (13-19) 40-34 gagne
Partie des archives de JP Dubois - spécialement offerte au site du DL
CHAMPlONNAT
D'EUROPE 1983 Par
J.-P. DUBOIS (M.N., Lyon)
tiré de l'Effort n°239 de 1984
DUBOIS
- KRISTA Première
ronde
Dans
la partie, il fut
joué : 38.
38-32?! 17-21!
39.31-26 22x31 40.36x27 2-7 41.26x17 7-12 42.33-28 12x21 43.48-42 14-19 44.30-24
19x30 45.25x34 18-23! Etc.,
=. Pendant
ce temps, dans la salle d'analyses, Sijbrands préconisait 38. 48-43!
avec les variantes plus
prometteuses suivantes : I
: 38.
13-19 39.
38-32 !
...... Et
non 30-24? qui permet aux Noirs de damer par (16-21) (17-21) (14-20) et (22-28). 39.
...... 17-21
40. 43-39! Interdit
(21-26) par 15-10-5. 40.
...... 2-7 41.
30-24!
19x30 42.
25x34 7-12 43.
34-30... I-
1 . Avec
deux sous-variantes : 43.
...... 14-19 44.
30-25 19-23 45. 31-26 22x31 46. 36x27 Etc.,
gain positionnel. I-2 43.
...... 12-17
44 30-25
8-13 45. 31-26
22x31 46. 36x27
13-19 47. 3
9 3 4 19-24 La
défense la plus longue. 48.
34-29
14-19 49.
29x20
18-23 50.
34-24!
19x10 ......
51.
25-20 Gain. II
: 38. ......
17-21 ......
39. 33-29!
21x32 40. 38x27 Interdit
(13-19) par 29-24-20. Les
Blancs ont alors de grandes chances Dans
la partie, je pensais bien que 38.38-32 était prématuré mais, d'une part, je
n'avais pas envisagé le pionnage (18-23)
pratiquement imparable du 45e temps et, d'autre part, je me demandais bien
quelle suite adopter après 38. (8-12).
Ce coup interdit à présent
38-32 par (16-21) (22-27!) et
(12-17). Après 30-24 (14-19) je ne voyais vraiment pas de gain et sur 33-29 je
craignais ( 13-1
9) 38-32
( 19-23)
29-24 (16-21 ) (14-20)
suivi de 23-28, nulle. A
l'analyse, on a pensé à
: 39.
43-39 2-8 car
(17-21) laisse le collage 33-28 avec une finale gagnante. Mais après 2-8 on n'a
trouvé aucune variante sérieuse de gain. Dans
la position du diagramme, le dernier coup des Noirs était (12-17), il
est intéressant de voir que
(13-19) était interdit par 27-21 (16-27) 33-28!
(22x42)
31x24 (42-47) 24-10!, etc.,
gain (montré par Sijbrands dans la salle d'analyses). DUBOIS
- SCHOLMA Troisième
ronde
Trait
aux Blancs : 24-19, qui n'est
d'ailleurs pas très bien positionnellement après (8-13x13)
, est
également interdit par la combinaison (20-24) 19x30
(27-32) 38x27 (17-22)
28-17 (12x41) 23x3 (4-10) 47x36 (10-14). 45.
47-41 4-9
46. 41-36 9-13 47.
37-31 17-21 48.31
X22 18x27 49. 38-32
27x38 50.33x42
21-27? Faute
décisive due au manque de temps. Les Noirs avaient dû
jouer une dizaine de coups en
moins de trois minutes. 51.
28-22 !
27x18 52.
42-38 13-19 Et
les Blancs ont gagné cinq coups plus tard. DUBOIS
- STOKKEL Quatrième
ronde
23. 23-29 ?! 24.30-25 II
fallait jouer 43-38!
qui interdisait (20-25)
par le coup de Dame 27-22
suivi de 28-23
et 38-33
éventuellement. Après 30-25
et les prises, les Noirs ont
magistralement exploité la faiblesse du pion 36
par : 24.
29 x
49 25.
25x12
7x18 26.48-43
49x38 27.42x33
9-14 28. 40-34 14-20 29.
45-40 20-25 30.50-45
13-19 31.47-42
8-13 32. 42-37
1-7 33.36-31
3-8 34. 34-29
7-12 35.29x20
15x24 Et les Blancs sont mat. TCHEGOLEV
- DUBOIS Neuvième
ronde
Un
petit espoir pour les Noirs ; si les
Blancs espèrent conclure par 47-42?
suit la petite combinaison (24-30)
35x22 (23-28) 32x23 (31-37) 42-31 (36x40) avec
fin gagnante, mais : 49.
32-27 31x22 50.38-32 22-28 Egalité
BERTE-DUBOIS Dernière
ronde Le
gain de cette partie m'assurait la troisième place et le titre de Candidat Maître.
Mais dans cette position je n'entrevoyais que des variantes de nulle. Notamment (23-29)
48-42 (29x38)
43x33 (12-18) 37-32 (17-21) 16x27 (22x31) 40-34 (18-23) 37-32!
et 34-29
... et
j'optais pour la plus mauvaise variante. 38.
22-27 ?
39.47-41! 36-47 40.37-31
47x45 41.31x2 12-18 42.2-8 23-28 43.8-26 28-33 44.
16-11 45-29? 45.11-7 1x12 46.26x20
24-15 47. 30-14
29x23 48.25x12
33-29 49. 6-1
39-44 50.1-6
44-49 51.12-8
...Gain. Pour
conclure, je vous propose deux «
trucs »
glanés au cours de ce
championnat. Le premier est obtenu après le début connu suivant (voir «L'Effort»
n°200,
chronique de Korenievski) : 32-28
(18-22) 37-32 ( 12-18) 34-29
(7-12) 40-34 (1-7) 45- 40 (19-23) 28x19 (14x23) 32-28 (23x32) 38x27 (13-19)
42-38?! (18-23!!) avec
29-18
(22x13 et
un développement ultérieur plus harmonieux pour les Noirs, ou 27x18
(19-24 !!), etc.
Dans
cette position les Blancs peuvent se dégager du «Faux
Marchand de Bois» Terminons avec une partie jouée lors du championnat de France 1982 à Toulouse contre Philippe Lesnes, un autre ex-Lyonnais et président du club de Bourg-en-Bresse actuel. Analyse tirée de l'Effort n°226 de 1982 p.11-12 Partie J.-P. DUBOIS-Ph. LESNES 1.32-28 16-21 2.31--26 18-22 3.37-32 11-16 4.41-37 7-11 5.34-29 1-7 6.46-41 20-24 7.29x20 15x24 8.40-34 13-18 9.37-31 8-13 10.41-37 3-8 11.45-40 10-15 12.34-30 18-23
Trait aux Blancs
Les deux adversaires ont jusqu'ici choisi une variante critique sans éviter les difficultés. Les Noirs menacent de (21-27) 32x21 (23x41 ), etc. Voici la suite choisie : 13.31-27 22x31 14.36x27 17-22 Un dégagement surprenant qui va libérer les Noirs, mais en laissant un avantage positionnel aux Blancs. 15.27x20 14x45 16. 26x17 11x22 17. 28x17 12x21 Faisons une pose et essayons de cerner un plan pour les deux camps. Les Blancs ont un jeu massif sans faiblesse apparente et peuvent réoccuper le centre rapidement et ce très solidement. Les Noirs ont une position éclatée : "du gruyère". La difficulté pour ceux-ci est de reconstruire un bon jeu sans laisser l'adversaire prendre une position centrale trop forte. Le pion noir 45 est une faiblesse supplémentaire, car il peut permettre des combinaisons. 18. 35-30 5-10 19. 30-25 10-14 20. 33-28 7-12 21.39-33 12-18??
Trait aux Blancs Les Noirs viennent de livrer un coup simple. Dans ce genre de situation on a souvent tendance à oublier le pion noir 45. Ici, il va permettre une combinaison. Après 21. 39-33 (13-18), les Noirs peuvent tenter d'obtenir une bonne compensation par (6-11) (11-17) et (18-22) avec une formation sur le flanc droit. 22. 44-40! 45x34 23. 28-23 19x39 24.38-33 39x28 2... Les Noirs vont reprendre la Dame, mais en perdant le pion et les Blancs remportèrent le gain au 51e temps. &&& Les ouvrages de Jean-Pierre Dubois :
Pour l'ouvrage "Maîtrise du Jeu de Dames", Lyon 2005, voir la page dédiée
|
Envoyez un courrier électronique à
richard.przewozniak@free.fr
pour toute question ou remarque concernant ce site Web.
|